Albert LEBOURG (1849-1928) « L'arrivée du... - Lot 75 - Tessier & Sarrou et Associés

Lot 75
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Albert LEBOURG (1849-1928) « L'arrivée du... - Lot 75 - Tessier & Sarrou et Associés
Albert LEBOURG (1849-1928) « L'arrivée du bateau à vapeur à la Bouille, après-midi d'automne ». Huile sur toile / Oil on canvas Signée en bas à gauche / Signed on the lower left Circa 1910. 61 cm x 100 cm. / 24 x 39,37 inches. C'est à partir de 1904 qu'Albert LEBOURG commence ses premières études dans le coin charmant de la Bouille, avec ses coteaux boisés, but accoutumé des parties de plaisir des touristes rouennais. Lebourg y alla travailler plusieurs années de suite, la première année à l'hôtel, et ensuite dans plusieurs maisons sur le quai de la Bouille, plus tard dans une maison appartenant à Mme Delaruelle, dont le jardin donnait directement sur la rivière et d'où il a peint l'Arrivée du bateau vapeur par une après-midi d'automne. Il y travaillait exclusivement sur nature, ainsi qu'il l'indique dans une lettre du 19 août 1907 : « Et puis, vous savez, je ne fais plus jamais de paysage en chambre, - à moins d'un souvenir, - une de ces choses entrevues qu'on ne peut plus espérer revoir ». Peintre de la subtilité du traitement de la lumière, il avait une prédilection pour les levers du jour ainsi que pour les fins de journées. C'est pour ces mêmes raisons qu'il n'a jamais peint avec une aussi grande acuité que lorsqu'il brosse un paysage d'automne ou d'hiver. De l'été, il dira : « décidément, je n'aime pas cette époque de l'année, les jours sont trop longs, les soirs sont trop tard et les matins trop tôt… ». Paris ainsi que Rouen et ses alentours sont ses thèmes de prédilection. A Paris comme en Normandie, c'est la Seine qui l'attire toujours. Peintre de l'eau, il est plus attiré par les fleuves et rivières que par la mer. Les ciels Normands dans leur perpétuelle instabilité restent un sujet d'étude important, prétexte à l'exploitation des subtilités de la lumière. Pendant tout le XIXème siècle, jusqu'en 1914, et avant la rude concurrence assenée par le chemin de fer, les communications des biens et des personnes se faisait par voie f
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