Accessoires de soirée


Publié par la Gazette Drouot

AU XIXe SIÈCLE, SORTIR DANS LE MONDE NE S’IMPROVISE PAS. VOICI DONC QUELQUES ACCESSOIRES INDISPENSABLES.

Au XIXe siècle, les élites ont pris l’habitude de diversifier leurs plaisirs. La cour n’est plus au centre des divertissements. On lui préfère les dîners mondains, les salons littéraires ou les soirées costumées, bien moins compassées. Ces réunions entre soi perdent cependant bien vite le monopole des distractions, opéras, concerts, pièces de théâtre, bals et jusqu’aux grands cafés attirant la bonne société hors de chez elle. Capitale culturelle, Paris attire d’ailleurs des aristocrates de tous les horizons, formant une brillante société cosmopolite. 
Les femmes ne se contentent pas d’être de sortie, mais participent à l’animation de la Ille lumière. On se presse ainsi aussi bien chez Madeleine Lemaire, que dans les salons de la princesse Mathilde et de la princesse de Polignac.

TOILETTES DU SOIR SONT L’UNE DES CINQ TENUES QU’UNE FEMME DÉCLINE EN UNE JOURNÉE, DANS LES ANNÉES 1860.


Adjugé 375 €
Réticule en soie brodé de feuilles et de roses au point lancé, monté sur baguettes, pompons de passementerie de soie, poignées ornées de glands coulissants, de noeuds et de pompons.
Vers 1805-1815.
Drouot, 17 mai 2017.
Tessier & Sarrou & Associés OVV.