Tableaux, mobilier et objets d’art


Publié par la Gazette Drouot

Estimé 6 000 / 8 000 €, un panneau de l’école anversoise de la fin du XVIe siècle, Les Noces de Tobie et de Sara côtoie un Portrait de Marie Thérèse de Savoie Carignan par Karl Anton Hickel (30 000 / 50 000 €) et un ensemble d’estampes (nus, chats, etc.) de Léonard Tsuguharu Foujita provenant de la collection de Victor et Gretha Arwas (est. 500 à 5 000 €).
 


La vedette en cimaises toutefois est une Composition abstraite 56-84 de Serge Poliakoff de 1956, pour laquelle 200 000 / 300 000 € sont demandés.

Sans transition on poursuit avec un poids de pêche Eskimo (époque Thulé classique) représentant une baleine en dent de morse (1 500 / 2 000 €), des céramiques de Kütahya, deux bézoards de ruminant début XXe (2 000 / 3 000 et 1 000 / 1 200 €), des statuettes en porcelaine de Meissen XVIIIe (200 / 400 €), des figurines militaires (en porcelaine également, mêmes estimations), une épreuve en bronze à deux patines (médaille et doré) du Gloria Victis d’après Antonin Mercié (8 000 / 10 000 €), un bonheur-du-jour en placage d’acajou et loupe d’orme, signé Henry Dasson et daté 1878 (6 000 / 8 000 €).