Arts décoratifs du XXe siècle

Publié par la Gazette Drouot

Design et tableaux sont au menu, tel un coffret à bijoux de style Sécession, en laiton et marqueterie de bois à décor d’un guerrier et d’un dragon en façade, le couvercle surmonté d’une frise ornée de cabochons de pierre et de guirlandes stylisées, l’intérieur à casiers amovibles, travail allemand ou autrichien vers 1890 (2 500 €). Pour les sculptures, mentionnons une épreuve en bronze à patine vert-brun, fonte d’édition de Etling à Paris, d’un Nu allongé, vers 1930, par Geneviève Granger (1877-1967) (4 000 €) et celle en bronze à patine brun nuancé, fonte de Meroni Radice à Paris, numérotée 2/6 d’une Panthère humant de Guyot, vers 1921-1926, estimée 45 000 €.
Signalons, par Sandoz, un vase en céramique à couverte blanche figurant un cobra enroulé (10 000 €) et de Mouille, une applique à deux bras pivotants tubulaires en acier laqué noir, réflecteurs en aluminium laqués noir orientables montés sur une rotule en laiton, Steph Simon éditeur, 1954 (8 000 €). Ayant figuré dans l’ancienne collection Paul Chadourne, une huile sur toile de Papazoff, Tête, 1928, est aujourd’hui évaluée 12 000 €. Terminons par Raynaud et son Archétype rouge, 1968, pot en terre rempli de ciment, peinture (4 000 €).