Moderne Barré

Publié par la Gazette Drouot

Outre un Bouquet de fleurs dans un vase en étain de Tsuguharu Foujita de 1956, les plus belles batailles d'enchères pourraient accueillir une gouache non titrée de 1959 de Martin Barré ayant appartenu au docteur Martineau, ami et collectionneur historique de l'artiste (25 000 / 35 000 €).

Une tempera sur carton de Lado Davidovitch Goudiashvili (1896-1980), Dîner champêtre caucasien conservé dans son cadre d'origine à motifs de pampres et illustrant la période parisienne de ce peintre natif de Tiflis (30 000 / 50 000 €), et un guéridon néoclassique (vers 1820) attribué au talentieux et créatif Francesco Sibilio. Son plateau est orné d'une mosaïque figurant un cerf poursuivi par un chien dans un entourage de tesselles de verres antiques et de 84 échantillons de marbres et pierres dures. Il est estimé 30 000 / 40 000 €.
Disposant de 20 000 / 30 000 €, on pourra hésiter entre une étude de jeune femme à la pierre noire, l'estompe et la craie blanche de Pierre-Paul Prudhon (voir Gazette n° 23, page 8) et un Portrait de Barbaroussa, sur sa toile et son châssis d'origine, par Claude Vignon.